samedi 31 juillet 2010

Jeanne et la Mousse

Mustapha, le trou du cul, qu'a plus de face, qu'un derrière. Un assez beau, mais qu'il écarte, sans cesse, et qu'il frotte sur le nez de qui veut bien lui nettoyer. Jeanne avait bu, voulait qu'il la prenne, voilà, se faire tringler, c'est ce qui la remet au monde, à sa place, tas de chair nouveau né, putain, merde. Elle s'ouvrait, susurrait un poème, d'amour, cherchait à enchanter la Mousse, pour qu'elle s'étende, sur elle, et l'envahisse. Mais son ventre resta vide.

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