vendredi 20 février 2009

"Du côté des bourreaux, du côté des victimes, est-ce qu'on a le choix" interroge Olivier Py.

5 commentaires:

  1. On a au moins celui de l'indifférence

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  2. Ben, c'est encore ce qu'il y a de plus sympa, l'indifférence. Être juste un passant, rien de plus. Un spectateur non impliqué. Avec juste une pointe de cynisme, bien sûr, sinon c'est pas vivable.

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  3. Mais Gary Gout, l'indifférence, c'est se placer de facto du côté du bourreau. Le cynisme, ici, ne sert qu'à se soulager la conscience et de façon tout à fait passagère.

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  4. ...se soulager la conscience, comme la vessie

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